A la tête d’une boutique de location de cassettes vidéo, Patrick et Yvan (Yohan Manca, Jeremy Lewin) ont bien du mal à tenir les deux bouts. Les choses ne vont pas aller en s’arrangeant lorsque débarque la belle Marie-Laure (Fleur Geffrier). Dès cet instant, Patrick va tout faire pour la séduire et devra sortir le grand jeu d’autant plus qu’elle est issue d’une grande famille. Pendant ce temps, Serge (Anton Csaszar) se montre toujours plus ingénieux lorsqu’il s’agit de duper ses parents mais le Bac approche à grands pas ! De son côté, Dov (Mickael Lumière) semble avoir trouvé sa voie; il a décroché un job de vendeur chez le grand Max (François Berléand). Tout allait pour le mieux jusqu’au moment où lui aussi a croisé la superbe Hélène(Audrey Dana) qui est … la femme de son patron !

Parce que la saga fut un succès à l’époque, il était tentant de relancer la machine et de surfer sur cette renommée passée. C’est chose faite avec La vérité si je mens ! Les débuts qui revient aux origines du célèbre quatuor qui a animé les rues du Sentier. On est vite frappé par le mimétisme de ce nouveau casting avec les personnages qu’on a connu auparavant. De par les intonations et les voix, on a vraiment l’impression de les revoir à l’écran. La palme revenant sans conteste à Yohan Manca qui incarne à la perfection Patrick sous le regard de Gilbert Melki. Les compliments s’arrêtent hélas.