Aliens vs. Predator Requiem Plate-forme : Blu-Ray Date de sortie : 16 Juillet 2008 Editeur : Développeur : Genre : Action Multijoueur : Non Jouable via Internet : Non Test par Nic0077/10 Réalisé par Colin et Greg Strause Pour leur duel le plus spectaculaire, les Aliens et le Predator débarquent sur la Terre... dans un petit village américain. Un jeune shérif, un ancien détenu qui est son meilleur ami et un soldat féminin mènent les villageois désespérés, pendant que les Aliens, le Predator et une nouvelle menace mortelle (un predalien) continuent leur combat. Le film AVP Requiem s'avère nettement mieux réalisé que le premier opus. L'histoire débute après la fin d'AVP : Un bébé Alien sort du ventre du Predator défunt et devient le monstre principal du film : le Predalien. Pour ce qui concerne les créatures Aliens, elles sont bien mieux valorisées durant tout le long métrage. On sent que le réalisateur a mis l'accent sur leur présence et qu'il a une préférence pour Alien par rapport à Predator. Predator lui de son côté, assure le strict minimum. A part quelques gadgets en plus, l'apparition de la planète même des Prédators pendant disons 30 secondes, n'apporte rien de bien nouveau. Le Predator chasse et détruit les preuves, tue un humain parce qu'il s'est fait surprendre, mais un peu plus tard dans l'hôpital, il ne montre clairement aucune agressivité envers les humains si ce n'est qu'il se trouve sur la défense parce qu'il est menacé par deux bêtes types. Bref, pas très sensé tout cela. On en oublie l'essentiel : Predator se moque de l'humain, il chasse et écrase tout autour de lui. Pas de pitié, ni de laxisme. On doit tous y passer. Dans les AVP, on a l'impression qu'il y a une certaine alliance entre les deux races, comme de vieux amis qui s'entraident dans une situation difficile. Les combats en face à face sont ridicules. L'affrontement final est complétement râté, l'accent est mis sur la fuite des survivants et non le VERSUS du titre. VERDICT-Une suite bien meilleure que le premier, avec une réalisation satisfaisante, mais un scénario très (trop ?) américain et finalement sans réel surprise. |