A Certain Magical Index (Toaru Majutsu no Kinsho Mokuroku) est l'adaptation d'une light novel écrite par Kazuma Kamachi et illustrée par Kiyotaka Haimura. Ce manga comporte actuellement vingt-et-un tomes au Japon aux éditions Square Enix, et est toujours en cours de parution. Le héros principal de l'histoire, Tôma, a le pouvoir d'annuler tout pouvoir surnaturel, appelé l'"Imagine Breaker", rien qu'en touchant une personne avec sa main droite. Mais dans la Cité Académique, la ville fourmillante d'étudiants en sciences occultes où il vit, cette capacité ne lui attire aucune estime. Comble de l'ironie, à chaque fois qu'il utilise son pouvoir, une terrible malchance s'acharne sur lui. Un jour pourtant, il va faire la rencontre d'une nonne de l'Église d'Anglicane, Index, qui est poursuivie par l'organisation de la Kaballe parce qu'elle a mémorisé une connaissance interdite de 103.000 volumes de magie. Alors que Stiyl Magnus et Kanzaki Kaori veulent effacer la mémoire d'Index uniquement pour son bien, Tôma intervient et cherche un moyen de la sauver. L'Église d'Anglicane a en effet placé un sceau dans le corps d'Index pour préserver les grimoires et un système de défense anti-vol vient d'être activé.

Après quelques turpitudes, la Cité Académique semble connaître une période de tranquillité, ce qui n'est pas le cas des autres régions du monde. Les manifestations se multiplient, la guerre entre la Cité Académique et l'Église catholique romaine semble à présent inévitable. Les parents d'élèves sont inquiets, notamment Misuzu Misaka qui dirige un mouvement destiné à ramener les enfants à bon port. Une initiative qui fait d'elle une cible, heureusement que Tôma et Accelerator interviennent à temps. Tôma sera particulier impliqué dans ce tome vingt-et-un car l'un des pontes de la ville lui demande de stopper les agissements des combattants de l'Église, alors que les problèmes se multiplient dans la Cité. Ses tribulations le mèneront notamment à Avignon face à un féroce adversaire. Quid d'Index dans tout cela ? Étrangement, la jeune femme n'est présente que sur deux pages dans cet opus et n'a pas vraiment un rôle important. Le dessin est quant à lui toujours très agréable.